contrepèteries...
La petite MAison dans la PRairie.
La petite PRison dans la MAirie.
Il y a du vent dans la rUe du quAI
Il y a du vent dans la rAIe du cUl
Quel beau métier, professeur
Quel beau fessier prometteur !!!! ( ça c'est pr moi lol)
Les populations du Cap mettaient les échecs en valeur.
Les copulations du pape mettaient les évêques en chaleur.
Arriver à Béziers la veille
Arriver à baiser la vieille
Des Nouilles enCore !
Des Couilles en or
Superman a une bouille incroyable
Superman a une couille imbroyable
Les bons caBots ne se Taisent jamais.
Les bons caTos ne se Baisent jamais.
sans Fin ni Cesse...
..sans Sein ni Fesse...
Ma grand mère admire les rossignols du caroubiers
Ma grand mère admire les roubignols du carossiers
On boit mieux à treize.
On baise mieux à trois
Voici, monsieur le curé, la Bannière deMandée.
Voici, monsieur le curé, la Mannière de Bander.
La prof de math aimerait que l'on s'intéresse aux cUbes de son cOURs.
La prof de math aimerait que l'on s'intéresse aux cOURbes de son cUl.
Vraiment, vous bOUdrez chaque fois que je vENdrai ?!
Vraiment, vous bANderez chaque fois que je vOUDrai !!?
Les écoliers apprennent à CALculer en CENT leçons.
Les écoliers apprennent à S'ENculer en CAL leçons.
SaGEsse est source de Foi !
Sa Fesse est source de Joie !
Ce jeune séminariste se voyait en cuRé avec une caLotte...
Ce jeune séminariste se voyait encuLé avec une caRRotte...
Taisez-vous en Bas !
Baisez-vous en Tas !
Les ingénieurs brassent le Béton à la Tonne
Les ingénieurs brassent les Tétons à la Bonne
caBine TReize
caTRHine Beize
Pour les plus fort:
La Littérature
Paul et Virginie :
Virginie prend les bols.
Claudel :
Voilà une chose qui me fait prier.
Corneille :
Devine si tu peux et choisis si tu l'oses. (Héraclius, IV, 4)
... De vos civilités ma maîtresse est ravie,
Elle serait venue, elle en brûle d'envie. (La suite du Menteur, II, 6)
Racine :
Ces festons dans vos mains et ces fleurs sur vos têtes. (Athalie, scène III)
Percer le traître cœur qui m'a pu déceler. (Mithridate)
Boileau :
En quelqu'endroit que j'aille, il fendre la presse... (Les Embarras de Paris)
Alfred de Musset:
Autrefois ignoré, mais content de son sort ... (Le Saule)
Mais l'amour de ton cœur s'appelle d'un beau nom...
Alfred de Vigny:
J'aime le son du cor le soir au fond des bois
Victor Hugo:
Ah, Peuple, te voilà acculé dans l'antre
Et la paille qui sert aux bêtes de litière ...(La Légende des siècles)
Lanza del Vasto:
Faut-il que seule je te sente
Dans mon cœur comme un rameau nu. (Triolet inachevé)